Bonjour Yves
Je suis content d'entendre que "la femme qui tenait un homme en laisse" aura une suite.
Le « point de vue Irakien » c'est ça. Courage car c’est pas évident de « traiter » ou « maltraiter » artistiquement « la victime ». Croyez-moi j’ai posé cette question en regardant votre pièce. C’est pas évident. Généralement la littérateur, l’art, les médias s'intéressent moins à la victime qu' au bourreau. Pourquoi à votre avis ?
Pourquoi la nouvelle de100 soldats américains morts en Irak pour le mois d’octobre fait sensation dans les salles de rédactions alors que les centaines des irakiens qui tombent chaque jour relève de banal. Pourquoi le moindre geste d’un des « boys » sont notés et discutés, alors que personne ne parle des nombreux chirurgien irakiens qui fuient l’Irak car un beau matin ils trouvent devant leurs maisons un enveloppe dans lequel se loge une balle ( quelle efficace communication) ?
La chute des « forts » fait plus de bruit. C’est de la physique. Shakespeare c’est quoi ? Des « grands » qui « chutent » ! Mais alors quel « tragique » et c’est beau à voir et à lire. Ce n’est pas par hasard si l’Histoire parle des « grands » et non pas des « petits ».
Je suis content de savoir que vous envisagez la possibilité de faire « chuter » des « petits ».
Amicalement
Karim
Je suis content d'entendre que "la femme qui tenait un homme en laisse" aura une suite.
Le « point de vue Irakien » c'est ça. Courage car c’est pas évident de « traiter » ou « maltraiter » artistiquement « la victime ». Croyez-moi j’ai posé cette question en regardant votre pièce. C’est pas évident. Généralement la littérateur, l’art, les médias s'intéressent moins à la victime qu' au bourreau. Pourquoi à votre avis ?
Pourquoi la nouvelle de100 soldats américains morts en Irak pour le mois d’octobre fait sensation dans les salles de rédactions alors que les centaines des irakiens qui tombent chaque jour relève de banal. Pourquoi le moindre geste d’un des « boys » sont notés et discutés, alors que personne ne parle des nombreux chirurgien irakiens qui fuient l’Irak car un beau matin ils trouvent devant leurs maisons un enveloppe dans lequel se loge une balle ( quelle efficace communication) ?
La chute des « forts » fait plus de bruit. C’est de la physique. Shakespeare c’est quoi ? Des « grands » qui « chutent » ! Mais alors quel « tragique » et c’est beau à voir et à lire. Ce n’est pas par hasard si l’Histoire parle des « grands » et non pas des « petits ».
Je suis content de savoir que vous envisagez la possibilité de faire « chuter » des « petits ».
Amicalement
Karim
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